Je veut que tu me pardonne | JULIAN

Samantha venait a peine de se recoller à moi que déjà je reprenais possession de son corps. Mes mains se mirent à parcourir ses courbes part dessus ses vêtements, n'en ratant aucun milimètres.Je l'embrassais toujours de la façon la plus amoureuse et ardante qu'il soit, me laissant a peine le temps de respirer entre deux baisers. Quand son corps, se colla d'avantage au mien, que ses mains s'imicèrent entre les deux, parcourant mon torse, je ne pus refoullé une élan de désir comme j'en avais eu souvent au par avant. Une envie telle que je savais qu'elle le ressentirait bien vite, vu comme j'étais collé a elle.

Il neme fallu pas plus de temps, pour commencer a avoir la respiration complètement en désordre. Les baisers, les pulsions et l'envie donne un drôle de coktail...mais fascinant autant qu'envoutant. Je me laissais emporter par Samantha jusqu'au mur dans son tourbillon de baiser torides. Quelques secondes plutard je me retrouvais torse nu devant ma belle blonde. Je passais mes mains sous sa robe la remontant pendant que je remontais mes mains, la lui retirant par la suite, elle serait plus vite déshabillé que moi.

Je n'opposais pas de résistance, car le feu qui me dévorait ne demandait qu'une chose qu'on l'éteigne et de la meilleure façon qu'il soit. Je sentis mon pantalon détaché glissé le long de mes jambes, il ne me fallu pas plus de 2 mouvements pour m'en débarasser totalement. Par la suite, je me recollais à Samantha, jamais je ne lâcher ses lèvres. Mes mains glissèrent dans son dos, d'un jeu de doigts habille je défit l'attache de son soutien gorge, le retirant donc et l'envoyant rejoindre nos vêtements déjà étallé au sol.

Je sentais nos corps s'entrechoqué doucement, se détachant parfois brèvement l'un de l'autre pour mieux dégagé le corps de l'autre de l'un des nombreuses entraves en tissus que nous portions. Tout comme le reste des vêtements, mon sous vêtements se retrouva jetter au sol sans pitié par Samantha, mais je la comprennais car je désirais la même chose. Mes mains glissèrent de son dos vers ses fesses, faisant glisser le dernier vêtements qu'elle avait sur elle vers le bas

Après des mois de séparations, nous étions a nouveau réuni, mais de quelle manière? Celle la plus complète qu'il soit, nos corps collé l'un a l'autre, ne souffrait aucune limite de vêtement, sa peau douce et rendue chaude par le désir collé contre la mienne, rien que cela déjà était une porte ouverte sur le paradis de l'amour, même s'il ne faut jamais associé le sexe à l'amour, ils se complètement plutôt bien. Je parcourais le moindre bout de peau de la belle de mes mains, ne manquant pas de lui donné quelques autres frisson de plaisir, par quelques caresses bien placé au niveau de sa féminité. Mes lèvres elle, s'aventurèrent sur son cou, jusqu'à son ventre, ne ratant pas l'occasion du détour sur sa généreuse poitrine.

Je savais comment faire plaisir à Samantha, mais aujourd'hui, j'avais décidé de me surpasser, je ne sais pas pourquoi... pour qu'il reste unique? Possible. Je continuais de parcourir son corps chaud, souriant à ses soupires. Je descendais mes baisers jusqu'à la naissance de ses cuisses. Je poussais la chose au point d'aller remplacer mes mains qui la caressais intiment par ma bouche, chose que je n'avais jamais fait ave Sam...ni personne d'ailleurs, je ne sais trop ce qu'il me prit à cet instant... le manque? Encore une fois, fort possible. Doucement, je remontais le long de son corps jusqu'a son cou

Après ces courtes préliminaires mais très passionné quand même, je me remettais sur mes jambes, corps collé contre celui de ma petite amie. Je glissais ma mais sur sa cuisse droite, m'en emparant doucement pour la collé contre l'aile de mon bassin de manière a emboité mon corps au sien de façon douce et tendre. Alors que j'entrais en elle pour commencer l'acte a proprement parler, je lâchais un soupir de désir et d'envie.

J'avais le luxe d'avoir comme aide le mur de la salle. Je m'emparais alors de la seconde jambe de Samantha, l'ammenant elle aussi contre mon bassin, tenant alors la jeune blonde par en dessous des fesses et appuyé contre la paroie. Ainsi mit, je pouvais a nouveau collé l'entièreté de mon corps au sien pendant que nous regoutions au plaisir de la chair entre nous. Mon visage retourna dans le cou de la jeune femme, ou mon souffle rauque et chaud mêlé de soupir de plaisir jouait contre sa peau. Quelques fois j'y déposait un baiser brûlant

Vu l'heure qu'il était nous ne souffririons aucun dérrangement, même si, j'avoue je n'avais jamais imaginé connaître les plaisirs de la chair dans une salle de classe, mais quand l'envie est là, on a du mal à la refoulé. De toute façon, a cet instant plus rien n'avait d'importance pour moi si ce n'est mon amour retrouvé pour Samantha, le désir que j'avais d'elle et mon corps emboîté au sien. Sans lâcher la jeune femme, le plaisir que j'avais a ondulé mon bassin contre le sien me fit accélérer mes mouvements en elle. De temps en temps, le plaisir me faisait grogner dans son cou quand il venait comme une décharge électrique, mettant mon corps en ébulition.

Décidement, être ainsi n'était pas pratique, je n'avais personnellement aucun appui. Doucement, je nous changeais de place, asseyant Samantha sur une des tables, je posais mes mains de part et d'autre de son bassin, m'agrippant à la table. Une fois de nouveau installer, je repris mes mouvements de bassin en soupirant comme précédement

A nous deux, même si nous n'étions pas bien lourd, nous métions la solidité de la table de cour à l'épeuvre. Elle grinçais méchament mais tempis! On dira qu'elle s'était effondrée toute seule, enfin si elle s'effondre. Je continuais mes mouvements de bassins avec plus d'ardeur et de sensualité, fermant les yeux par moment tant la décharge de plaisir me faisait du bien.

Ce n'étais certainement pas l'endroit idéale pour des activités de ce genre mais...il n'y avait plus personne dans les couloirs à cette heure, enfin quelques professeurs peut être...De toute façon à l'allure ou j'allais maintenant au niveau des coups de reins, cela ne risquait plus de trainer des masses. Les décharges de plaisir de faisait plus rapproché et régulières. Mes mais s'aggripèrent au cuisse de Samantha et heureusement, elle étouffa mes soupirs de plaisir par un baiser que je prologeais.

Pendant plusieurs minutes mon plaisir s'étais accentué jusqu'a ce que j'atteigne ma jouissance, après quoi j'arrêtais tout mouvement et me retirais doucement du corps de Samantha pour la laisser se rhabillé et moi de même. Mais pas sans un dernier baiser.

"Je t'aime aussi..."

Je repris un peu mon souffle qui était vachement cour puis ramassais nos habits au sol pour les posé sur une des tables